2007, éditions Laurence Teper, prix Marguerite Audoux
Visites aux vivants
« (…) Comme au vitrail des églises, dans les enluminures et les images populaires, la représentation a cette force occulte des naïvetés souveraines, en quoi s’illustrent les mystères, mués en légendes : ce qui doit être lu et entendu. Ni agenouillement, compassion ou dévotion, pourtant il passe quelque chose de sacré dans cette célébration discrète. Un élan d’amour pour les êtres, leur dignité humaine. »
Anne-Marie Garat, écrivain, Le Monde, 23 février 2007